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    • Dialogues # 19 novembre 2022 - "Agit, Toulouse. Créer et faire société au théâtre"

     


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    Dialogues # 19 novembre 2022 - "Agit, Toulouse. Créer et faire société au théâtre"

    Faire société : Créer et se rencontrer au théâtre. Un monde commun pour des identités différentes. 

    Bénédicte Auzias, pour la compagnie de Théâtre Agit de Toulouse, créée par François Fehner, dirigée par Inès Fehner.

    Emission animée par Isabelle Raviolo, Paul Roussy et Christine Bessi.
    Technique : Amazir Hamadaïne-Guest

    1)Bénédicte,vous êtes comédienne, vous écrivez des pièces, vous improvisez: pourquoi avez-vous décidé de dédier votre vie au théâtre ? Pouvez-vous nous parler de la compagnie Agit ? L’histoire de cette compagnie racontée au détour de la fiction par le film “les ogres” de Léa Fehner fait la part belle à l’itinérance et nous permet de mieux connaître le spectacle vivant. Comment est né ce projet de film ? Quelle est sa part de fiction ? De témoignage direct ?

    Ce film célèbre l’ogre, l’ours de Tchekhov, le monstre humain qui n’en peut plus de désirer et de vouloir davantage. Il réjouit tant dans ses outrances, ses excès, sa gouaille et sa tendresse que dans sa fronde et sa dérision , tant par la bande originale qui l’accompagne que par le talent de ses comédiens et comédiennes. L’ogre est par excellence le personnage du conte: il dévore  les gens, les enfants, la vie; il dépasse sans cesse les bornes. C’est un goulu, un personnage de transgression absolue, de monstruosité  mais aussi de liberté et de spectacle à tout prix. Il célèbre la force que donne la création pour porter une troupe de théâtre au plus vivant et charnel de ce qu’implique de tout partager. Il rappelle ce que Bergson entend dans l’énergie spirituelle  par “la création continue d’imprévisible nouveauté qui semble se poursuivre dans l’univers”.

    L’histoire de l’agit est très liée à Tchekhov avec la mise en scène de cabaret Tchekhov en 1996 et  c’est vraiment une histoire de famille: Le nom de la compagnie dans le film c’est “davaï, on y va, en avant” en russe,  yalla en arabe et en gascon “en daban”. En regardant le film, et en parcourant l’itinéraire de votre troupe entre Toulouse, Narbonne, Port Leucate, la vallée de la Roya jusqu’à Lyon, on retrouve un peu ce qui fait le pittoresque des rencontres du sud de la France. Cette histoire et cette géographie que raconte Henri Bosco dans l’âne culotte et qui rappelle l’attention que toute culture doit et peut porter aux gens de passage, parce qu’exilés ou en fuite ou parce qu’incapables de se fixer dans un lieu. On pense bien sûr en le regardant au film Gadjo dilo de Tony Gatcliff mais  surtout aux ailes du désir de Wenders et à La nuit des forains de Bergman.

    " Ce fut un samedi soir que les nomades arrivèrent. Ces gens au teint basané, on les appelle chez nous les Caraques. Ils viennent habituellement de l'Est par la route de Costebelle et ils campent en dehors du village. Il y en avait, ce jour-là, une quinzaine. Personne n'en fit grand cas; on était accoutumé à ces passages. Il ne s'écoulait guère en effet de saison qu'on ne vit un de ces campements éphémères allumer son foyer de ronces entre deux cailloux, sur le bord de la route, à trois cents mètres derrière les maisons. Ils arrivaient nombreux, à la mi-mai, car ils se dirigeaient alors vers la ville de la mer pour la fête des trois Maries. Mais des groupes isolés apparaissaient aussi à d'autres moments de l'année, et il n'était pas rare d'en voir un ou deux s'établir, pendant quelques jours, entre le village et la montagne, justement vers la fin du mois d'août, au moment des pluies d'or. Alors, la terre, encore toute brûlante de l'été, entre dans le champ sidéral des astéroïdes et souvent au plus pur de la nuit, les calmes du ciel sont traversés silencieusement par des nappes d'étoiles. Jusqu'à l'aube les nomades entretiennent des feux et veillent autour des brasiers. Coutume dont jamais nul n'a su la raison, tant il est difficile de connaître l'origine, la vie, le culte, les chemins et les buts de ces hommes. On les tient à l'écart ; on les accuse de maintes rapines. Ils inspirent la crainte. Quelquefois de leur campement s'élève une voix, familière des ténèbres, qui chante près du feu peut être les regrets du chemin parcouru, l'espace qui descend aux horizons lointains de la mémoire et qu'un long souvenir traîne mélancoliquement derrière lui. "Bohémien qui chante à la flamme. A ce moment vole ton âme " Disait la péguinotte qui les détestait. Car on les soupçonne aussi d'enlever les enfants. Mais ce sont là des contes qui n'obtiennent plus guère créance sauf chez quelques vieilles gens ou dans l'esprit de ces êtres sensibles et imaginatifs , comme la péguinotte, qui peuplent leur vie domestique de petits Démons attentifs à nous nuire et de sorcellerie" 

    2) Peut-on parler de famille de théâtre, comme on parle de famille politique ? Une famille de théâtre constructive d’une identité serait celle qui rassemble plutôt qu’elle exclut ? Comment est-ce que l’histoire familiale de ce théâtre, née de parents qui ont transmis le théâtre à leurs filles, crée comme une espèce de nécessité intérieure pour chaque membre de la troupe, de faire société et famille, avec ses ratés, ses drames et ses joies ? Alors, le théâtre, c’est vraiment une histoire de famille ?  

    3)  Pourquoi avoir choisi le théâtre nomade et itinérant et non sédentaire ? En découvrant le travail de votre compagnie, on ne peut pas s’empêcher de penser, bien sûr, au travail populaire de Jean Vilar mais aussi au travail d’Asja Lacis pour les enfants des rues. Aller au plus proche de ceux qui sont dépourvus de tout économiquement, socialement culturellement et qui vivent dans la violence et la misère sociale.Il y a en effet eu, il y a un siècle, un dialogue essentiel entre Asja Lacis et le philosophe Walter Benjamin. Lui, l’intellectuel de la grande bourgeoisie berlinoise et elle, lettonne qui vient d’un milieu populaire et qui s’est introduite dans le monde de l’art. Le vrai travail, pour Asja Lacis, n’est pas seulement dans un théâtre, il est dans la rue avec les enfants, orphelins de guerre. On est dans les années 1920 et le carnage de la première guerre mondiale( celui qui a signé la fin de la possibilité de raconter des histoires, la fin du conte,  pour Benjamin) a laissé des dizaines de milliers d’enfants dans la rue. Ils forment des bandes, volent, violent et terrorisent les populations. Face à ce fléau social qui a lieu de fait dans toute l’Europe, son projet est de ré-humaniser ces enfants en faisant du théâtre avec eux. Elle se frotte à l’institution. Elle sera déportée 10 ans au Kazakhstan  puis fera connaître le théâtre de Brecht aux paysans de Valmiera en Lettonie.

    5) En quoi les lieux de friche ou de périphérie des villes  où s’installe le chapiteau permettent la rencontre, les émotions? En écoutant cette  histoire d’itinérance, on pense aussi à La Strada de Fellini, l’accord entre corps esprit et coeur, on y retrouve l’enfance de la philosophie, (Nietzsche, J.F Lyotard ), une voix d'enfance qui passe d’homme à homme, crée du lien. La strada raconte à la fois la fin d’un monde  dans une Italie déliquescente mais surtout un voyage humain qui rend possible les rencontres vraies. ( Gelsomina/ Zampano).

    Le théâtre offrirait alors une certaine façon d’être à la marge et un peu malpropre, tout le contraire de ce que François Fehner appelle “l’être normal, bourgeois et propre”. Sortir le théâtre des salles, est-ce cela vaincre la peur d’entrer au théâtre? Qu'en est-il alors de la parole “au je”,  la parole de témoignage au théâtre?  Le théâtre est ce qui manifeste la frontière du réel, il offre l'ambiguïté qui permet l’émotion. Pourquoi? 

    6) L’agit, c’est donc une culture théâtrale sous tente qui a pris l’habitude de plier bagage. A être au contact et à  être en mouvement, être dans le flux et la rue.Tout un programme de mise en mouvement et d’énergie pour aller vers l’autre, le rencontrer, non? Qu’est-ce qui fait l’identité de ce théâtre? 

    L’Identité du théâtre itinérant est de n’être pas attaché à un lieu. Un lieu qui déteint sur le paysage et le théâtre lui-même. La rencontre du spectateur  se fait parce qu’il n’est pas dans le noir: quant à l’acteur, il  est aussi à la billetterie, à la buvette, au montage du chapiteau. Il s’agit de jouer "en plein jour". On pense en vous suivant au théâtre prolétarien de Brecht mais aussi au travail du décor de  théâtre  ukrainien du début du siècle, en particulier celui de l’ukrainien Anatol Petrytrsky. L’identité du théâtre est portée non seulement par l’attention au texte  par  l’ensemble de ses membres mais aussi  par le soin donné à la création de l’enfant qui participe au décor par son dessin au travers du travail onirique de décor et d’illustration de  Marion Bouvarel. 

    7)  Dans la note d’intention de votre pièce en cours d'écriture, vous citez Ariane Mnouchkine :
    “(...) Et surtout, surtout, disons à nos enfants qu’ils arrivent sur terre quasiment au début d’une histoire et non pas à sa fin désenchantée. Ils en sont encore aux tout premiers chapitres d’une longue et fabuleuse épopée dont ils seront, non pas les rouages muets, mais au contraire, les inévitables auteurs…”

    Diriez-vous alors  que l’enfant est le seul être capable de véritable subversion et de commencement? Lorsque Baudelaire dans Le peintre de la vie moderne nous dit que seul “l’enfant  voit tout en nouveauté. Il est toujours ivre” N’est-ce pas le sens du travail de votre compagnie: Faire des enfants des auteurs. pas seulement des acteurs. Des auteurs du monde dans lequel ils entrent pour créer leur propre mise en scène? N’est-ce pas aussi le sens de l’écriture de votre pièce en création: L’Adulte Mode d’Emploi? Enfant source et moteur de création: Pourquoi  les faire monter sur scène? Pour faire monde avec les enfants ( voir le travail de la compagnie Groenland paradise). 

    C’est ce que dit la chanson de Cataix, Une femme, qui clôture le film les ogres : savoir qu’on peut changer le monde en jouant et ainsi contenir tout un monde dans un temps suspendu de spectacle, dans une question, une rébellion ou une rêverie à la fenêtre .“Je ne veux rien vraiment /et c’est une exigence /de n’être rien vraiment /c’est peut-être une chance /Une femme, /une femme à sa fenêtre/réclame /rebelle dans son être /de l’âme /que souffle la tempête/de l’âme /que souffle la tempête”

    8 ) Comment a été écrite cette pièce Et si je regardais le monde au fond de mes yeux ?

    Quel titre!  Il signe l'intériorité  et la lucidité de cette pièce  écrite à quatre mains. Comment la produire? Quelle est la part de l’improvisation? Ecrire sur ce qui est proche de nous ou à partir de témoignages directs. 

    9) Conclusion : Le théâtre comme pouvoir individuel de création et de réactio n: Etre des ilôts de réaction, de positivité, de résistance, de l'improbable dans un monde incertain, comme le dit E. Morin. 

    Musiques :
    Une femme, Philippe Cataix. Extrait de la BO Les ogres
    Adriano, Celentano, 24000 bacci

    Les conseils de théâtre de dialogues
    Samedi 19 novembre 2022 à 14h15 « Et si je regarde le monde au fond de mes yeux en Ariège.
    Jeudi 24 novembre 2022 à 14h00 « Malbrough s’en va-t-en guerre » à Montauban
    A Paris, dernière (et ce, avant le printemps) ce soir à 20H30 au théâtre de l'opprimé, Fais comme le corbeau, adaptation du texte de Max Aub, par le collectif du foyer et jouée par Benoît Felix Lombard.

    Les conseils de lecture de Dialogues
    - Walter Benjamin au micro, un philosophe sur les ondes ( 1927-1933), de Philippe Baudouin, Prix Walter Benjamin 2022, Editions de la Maison des sciences de l’homme
    - Asja et Walter, une histoire de passion, Antonia Grunenberg, Payot, 2021


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